Presse / Médias
5 mai 2025 - Institut Thomas More: Génération Queer ? Quand une jeune femme sur cinq ne s’identifie pas comme hétérosexuelle
Alors que le nombre de jeunes femmes se déclarant non hétérosexuelles progresse, une recomposition des rapports intimes s’esquisse à la croisée des normes sociales, des bouleversements générationnels et de la redéfinition des attentes amoureuses. Entre quête d’égalité, désenchantement vis-à-vis du masculin et affirmation de soi, l’identité sexuelle devient un terrain mouvant, reflet de transformations profondes et parfois ambivalentes de notre époque. Analyse de Christian Flavigny, pédopsychiatre, directeur de recherche à l’Institut Thomas More, auteur de Comprendre le phénomène transgenre (Ellipses, 2023).
Le recul de l’hétérosexualité chez les jeunes femmes reflète-t-il une forme de désenchantement vis-à-vis de la figure masculine, dans un contexte de méfiance, de conflits de genre et de redéfinition du couple ?
Le piège de la réflexion est de confondre les sentiments intimes et les déclarations identitaires affichées dans la vie sociale ; or les registres ne sont pas les mêmes. On peut comprendre que les générations s’affichent selon un sigle qui mentionne leur succession (X, Y, Z, etc.), décrivant une évolution des points de vue portés sur des sujets d’importance comme l’éducation ou d’autres thèmes de société.
Le piège de la réflexion est de confondre les sentiments intimes et les déclarations identitaires affichées dans la vie sociale ; or les registres ne sont pas les mêmes. On peut comprendre que les générations s’affichent selon un sigle qui mentionne leur succession (X, Y, Z, etc.), décrivant une évolution des points de vue portés sur des sujets d’importance comme l’éducation ou d’autres thèmes de société.
25 avril 2025 - La rupture du phénomène des générations au cœur de la violence des jeunes
Christian Flavigny, pédopsychiatre, directeur de recherche à l’Institut Thomas More, était l’invité de CNews le 25 avril à l’occasion du drame de Nantes. Il a invité ses interlocuteurs à une réflexion plus profonde sur la violence des jeunes, qui apparaît aujourd’hui sur un mode totalement débridé et incompréhensible aux adultes.
C’est le fait que cette violence n’est plus canalisée par le phénomène des générations.
L’autorité de l’adulte est suspecte car elle est confondue avec de l’autoritarisme. On craint l’oppression de l’enfant qui pénalise son épanouissement. Une telle disqualification des adultes, qui mène à leur inhibition, est le propre de notre époque. Elle empêche le mécanisme de transmission entre génération de se réaliser sereinement.
C’est le fait que cette violence n’est plus canalisée par le phénomène des générations.
L’autorité de l’adulte est suspecte car elle est confondue avec de l’autoritarisme. On craint l’oppression de l’enfant qui pénalise son épanouissement. Une telle disqualification des adultes, qui mène à leur inhibition, est le propre de notre époque. Elle empêche le mécanisme de transmission entre génération de se réaliser sereinement.
10 mars 2025 - Institut Thomas More: Éducation à la sexualité · La sexualité est un don qui se vit et ne s’enseigne pas
Christian Flavigny, pédopsychiatre, directeur de recherche à l’Institut Thomas More, auteur de Comprendre le phénomène transgenre (Ellipses, 2023), reproche notamment au nouveau programme d’« Éducation à la vie affective et relationnelle, et à la sexualité » de présenter aux écoliers la sexualité comme un exercice corporel.
Promouvoir l’« Éducation à la vie affective et relationnelle, et à la sexualité » (EVARS) auprès des enfants, c’est évoquer la sexualité comme une pratique à conquérir et maîtriser. Ce programme du ministère de l’Éducation nationale prétend respecter les enfants en les initiant au grand mystère qui anime la vie des adultes. Sa démarche est fallacieuse, à deux titres.
16 décembre 2024 - Institut Thomas More: Recommandations de la HAS sur la transidentité - Un danger pour l’intégrité physique et mentale des jeunes.
Alors que des pays font machine arrière sur la transition de genre pour les mineurs, la Haute Autorité de santé française privilégie des mesures qui apparaissent aujourd’hui comme de graves erreurs.
Depuis quelques jours, on parle beaucoup d’un rapport préparé par la Haute Autorité de Santé (HAS) qui préconise des mesures en faveur des « personnes transgenres ». Sans le dire, ces mesures reflètent que se ressentir de l’autre sexe équivaudrait à être de l’autre sexe, thèse d’une erreur d’attribution corporelle par la Nature qui aurait mis « une âme de fille dans un corps de garçon » (ou l’inverse), erreur qu’il conviendrait de corriger comme il en va de toute anomalie corporelle. Mais cette explication par un « bug naturel » qui aurait placé dans le « mauvais corps » demeure une hypothèse, pour le moins hasardeuse
17 septembre 2024 - Institut Thomas More: Faut-il interroger les enfants sur leur identité sexuée ?
Institut Thomas More: Qui n’a fait l’expérience de formulaires qui, au moment de renseigner les nom, prénom, sexe, proposent pour ce dernier 3 possibilités : homme, femme, autre (ou non-binaire) ?
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