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L’Angleterre, la Finlande, la Norvège, la Suède et le Danemark ont récemment décidé de restreindre les traitements hormonaux pour les mineurs transgenres.
L’éducation à la sexualité de la maternelle à la terminale est entérinée depuis le 5 mars par le Conseil supérieur des programmes de l’Éducation nationale. Une fausse bonne idée.
Informer les enfants des détails de la vie sexuelle des adultes, est-ce favoriser que dans leur vie future ils vivent la leur propre dans le respect de l’autre sexe ? Est-ce en prévenir les dérives possibles ? Cette opinion actuellement répandue est une erreur, et c’est une faute.
Une erreur : favoriser demain une rencontre harmonieuse de l’homme et de la femme, c’est permettre au garçon et à la fille d’aujourd’hui de s’établir avec confiance dans leur sexe propre, masculin pour le garçon, féminin pour la fille, leur permettant de dire comme d’une évidence : “bien sûr que je suis un garçon/bien sûr que je suis une fille”. C’est ainsi qu’ils pourront respecter l’autre dans sa différence de sexe, dans la différence de ses attentes.
- 9 octobre 2023 - Le Journal du Dimanche - La culture française face au phénomène trans
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- 28 mars 2022 - Marianne - Mineurs transgenres : "Au nom de l’éthique, il faut interdire le recours à la méthode hormono-chirurgicale
- Février 2022 - Institut Thomas More: L’assimilation, une chance pour l’immigration en France